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Bourgeoise imagine sucer un sans-abri dans la rue. Cette belle blondinette qui passe tous les jours devant ce clodo lui fait bander la zizouille comme pas possible. Elle ne lui file jamais un rond, et comme ce connard lui montre « suce ma bite, salope », elle rentre chez elle et se tripote en imaginant lui pomper la matraque jusqu’à ce que de jus tiède lui coule dans le gosier. Elle le plaquerait contre un rideau métallique, lui sortirais la matraque et sucerais, sucerais, sucerais jusqu’à plus soif. Quelle salope
